42
Elle leva le regard sur son interlocuteur, posant sur lui ses yeux soulignés de khôl.
"Enchantée de même de faire enfin votre connaissance... Vous pouvez m'appeler Envy 42."
Elle leva le regard sur son interlocuteur, posant sur lui ses yeux soulignés de khôl.
"Enchantée de même de faire enfin votre connaissance... Vous pouvez m'appeler Envy 42."
Ça y est.
Je suis hypothétiquement dans la fam's 42.
Merci, mon très cher (pa)² Greed ..
Un petit coup de gueule.
GRRRRRAAAAAAAAAAOUUUUUHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Voilà.
Merci de voter lecture, à une prochaine fois!
Voilà un début de quelque chose; bonne lecture!
Elle entra
rapidement dans la boutique.
Ses chaussures
martelèrent le sol pendant quelques minutes, puis elle stoppa devant un rayon.
Son regard se porta sur un ouvrage poussiéreux.
«
Commentaires de la « Berceuse de Nîmes » par E. Parnetier » .
Une tranche bleu
de travail, des caractères communs. Rien de bien passionnant à première vue. La
jeune femme exulta intérieurement. Elle tendit la main vers le volume et s’en
empara avec délicatesse. Elle souffla sur la couverture poussiéreuse de
l’ouvrage. Avec un luxe incroyable de précautions, ses doigts fins
s’empressèrent de tourner les premières pages. C’était à peine si elle osait
lire les minuscules caractères noirs serrés sur les pages jaunies.
Elle se pressa
vers la caisse, tendit avec impatience quelques piécettes usées au vendeur,
serra contre elle le précieux livre en quittant la boutique.
***
Une pièce sombre
lui tenait lieu de « chez soi ».
Elle n’y était ni
bien, ni vraiment mal non plus. L’endroit aurait pu être plus accueillant, mais
elle avait préféré conserver l’austérité originelle des lieux. Cela lui
plaisait ainsi.
Pas de faux
lambris, pas de tapisserie. Ni couleurs vives ni tentures, ni d’ailleurs
d’accessoires bien inutiles comme des tapis, des tableaux, des bustes ou
d’immenses miroirs, comme on en trouvait chez certains. Chez elle, pas un
bibelot pour retenir la poussière, pas une peinture pour accrocher la lumière.
Elle vivait en
monochrome et se contentait de cette situation.
Chez elle, tout
se limitait à son usage: une étagère pour ses livres, un bureau pour maintenir à
sa hauteur un tas de feuilles en désordre permanent, un lit au matelas dur, une
cuisine et une salle de bain pour subvenir à ses besoins.
Et au beau milieu
de ce modeste appartement trônait, par terre, à moitié ouvert, son achat de la
matinée.
Ses pas sont lents.
Sa peau est aussi douce que la soie, et elle connaît sa cible.
Elle pointe son arme sur l'homme; il l'a entendue arriver, mais n'a pas bougé. Il aurait pu partir quand il en avait encore l'occasion, mais il a préféré rester pour suivre le déroulement des choses, fasciné par cette créature.
Fasciné par le vent sifflant sur son corps.
Il sait exactement ce qu'elle désire, cela fait si longtemps qu'il la traque...
Elle s'avance, lève haut sa fine tête, lui jette un regard méprisant.
Il laisse un léger sourire planer sur ses minces lèvres. Elle se raidit, les muscles tendus, craignant quelque entourloupe de ce vil personnage. Elle demande sèchement où il a caché ce qu'elle recherche ardemment.
- En un lieu que tu ne pourras atteindre dans cette vie, je le crains.
Que vitement passe le temps
comme passe un enterrement
Tu pleureras l'heure où tu pleures
Qui passera trop vitement
Comme passent toutes les heures
Pourquoi un blog?
Il est jouissif, d'écrire quelque chose, de le publier, en sachant parfaitement que tout le monde peut lire les âneries que l'on débite, sans restriction (ou presque, me rétorquerez-vous..), avec la liberté totale. Le seul gage de reconnaissance étant le nombre de visite qu'a un blog par jour.
Car si tout le monde savait ce que vous consignez dans ces pages, où serait l'intérêt? Si Untel savait quelle brillante prose vous inspire son absence d'after-shave, ou son attitude déplaisante à votre égard, quel intérêt de vous acharner sur cet Untel? Autant lui débiter directement une de vos diatribes, de vive voix et avec l'entrain du direct!
Ce qui me ravit si particulièrement, dans ce genre d'écriture, c'est à proprement dire que ça n'en est pas un.
Un blog ne vaut pas un roman.
Mais l'écriture d'un roman ne vaut pas toujours le plaisir d'un bloggeur qui, face à sa "feuille blanche" peut se permettre presque tous les écarts, sans aucune critique.
Et après tout, si une critique extérieure est publiée sur un blog, le propriétaire peut faire e le choix de s'en débarrasser, tout simplement.
L'auteur de roman peut, certes, découper et brûler dans un feu de vengeance, toutes les mauvaises critiques à son égard. Mais sa tâche sera pharaonienne, comparée aux possibilités du bloggeur!
Voilà,
A la rpochaine, les gens!
Présentation de l'auteur
Voyons voir.
Présentation succincte.
Moi: je tiens en quelques mots. Je m'appelle Alicia. Je suis en classe préparatoire, 2e année, PT* si cela vous dit quelque chose. Je réside en ce moment à Marseille.
Mon activité principale: survivre en classe préparatoire jusqu'aux concours, et réussir à avoir une école correcte. Accessoirement, me bourrer le crâne d'inutiles choses aussi passionnantes que les dessins normalisés de clavettes, de vis et autres délices industriels, ou encore, en vrac, la thermodynamique, l'algèbre, les séries entières, la dynamique, la magnétostatique et j'en passe..
Mes raisons de vivre: la peinture, le dessin, l'écriture, la lecture, les passions amoureuses.. (d'ailleurs, je précise pour éviter toute pénible méprise: je suis casée, et je suis assez entourée de mâles pour ne pas envie d'en avoir d'autres qui s'emmêlent de mes affaires privées).
Voilà.
La suite au prochain épisode.
Kalysha